1) Les taux longs à 10 ans irlandais s'envolent. En mai, le pic correspondant à la première crise des dettes souveraines et l'intervention de la BCE. Le marché estime donc que la situation ne s'améliore guère.
2) La volatilité implicite du l'€50 retrouve les planchers de la première crise.
3) le AAII bull se situe en territoire inconnu. L'optimisme devient béat outre-atlantique.
Une secousse pourrait se manifester sur les marché. Les indices faibles, dont CAC, en pâtiraient le plus.
Opinion CAC : neutre. La recherche d'un point d'entrée long n'est plus d'actualité.